
Voici la logique de se déplacement qui est payé par rien de moins qu’une agence de l’ONU, UNIDO, vouée au développement industriel. Des installations de production ont été financées et mises en place dans 3 régions du Mali. La production va bien tant au niveau de la quantité que de la qualité. Par contre, le marché reste à développer. Les possibilités du marché local et celui de l’Afrique de l’Ouest sont limitées par le faible pouvoir d’achats des consomateurs. Un des plus faibles au monde.
L’exportation au Nord pour le marché des cosmétiques apparait comme une avenue prometteuse. Le contexte du développement durable peut être une porte d’entrée naturelle. On estime le marché des cosmétiques naturels et/ou équitable à plus de 1 milliard $ par an et il se développe à un rythme soutenu. Notre participation à ce sommet sera une bonne occasion pour en savoir plus sur ce marché, d'en connaitre les conditions d’accès et de se faire des contacts. Les organisateurs nous ont même réservé un petit moment afin de présenter notre projet à la centaine de personnes qui vont y participer.
Un dossier à suivre en exclusivité sur le blogue…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire